Le Front de libération du Mozambique (Frelimo) considère cette initiative comme un pilier de la démocratie, mettant les aspirations populaires au centre des préoccupations gouvernementales.
Signé le 5 mars par le président Daniel Chapo et les leaders politiques, cet accord marque un tournant décisif dans le paysage politique du pays.
Le Mouvement démocratique du Mozambique (MDM) déplore toutefois le retard de cette démarche, pointant du doigt les tensions persistantes et les récents épisodes de violence.
Deuxième force politique nationale, Podemos espère que cette loi favorisera une gouvernance plus inclusive et une plus grande décentralisation du pouvoir.
Malgré ces avancées, la Résistance nationale mozambicaine (Renamo) reste prudente, exprimant des inquiétudes quant au respect des engagements pris, au regard des accords passés qui n'ont pas toujours été honorés.
Par ailleurs, la réforme constitutionnelle associée à cette initiative vise une restructuration de l'État, jugée cruciale pour assurer la stabilité à long terme du Mozambique.
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